Le sport comme tremplin vers l’entrepreneuriat
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Claudine Labelle de Fillactive
Un tragique accident a mis fin aux ambitions sportives de Claudine Labelle, qui caressait le rêve d’aller aux Jeux olympiques. Plutôt que de se laisser abattre, elle a lancé Fillactive, un organisme qui incite les adolescentes canadiennes à s’initier à l’activité physique et à adopter de saines habitudes de vie. En 2016, Fillactive a touché près de 120 000 jeunes filles dans plus de 200 écoles au pays.
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Marc-Antoine Bovet de Golf Avenue
Marc-Antoine Bovet a fait le grand saut à 18 ans pour éviter de se trouver un emploi d’été et pour pouvoir pratiquer son élan sur les terrains gazonnés. Il était loin de se douter que son projet d’affaires deviendrait Golf Avenue, l’un des plus gros détaillants d’équipement de golf d’occasion. Comme quoi miser sur sa passion peut s’avérer payant! Il a également fondé Oatbox, qui se spécialise dans la conception de petits-déjeuners santé.
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Fabrice Vil de Pour 3 Points
Fabrice Vil a renoncé à une carrière dans un grand cabinet d’avocats afin de fonder Pour 3 Points (P3P). Son organisme sans but lucratif forme des entraîneurs qui encadrent, sur les terrains de sport comme dans la vie, les jeunes issus de milieux défavorisés. Pour l’entrepreneur, P3P ne fait pas la charité, mais contribue à un réel changement de société.
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Corinne Galarneau de Trainer Workout
Après avoir reçu un diagnostic d’un cancer de la peau, Corinne Galarneau n’avait qu’une idée en tête : combattre la maladie et garder la forme. Elle a donc créé une plateforme Web consacrée à l’entraînement et au bien-être. Aujourd’hui, son application Trainer Workout est utilisée dans une quinzaine de pays.
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Jonathan Bourgeois et Sébastien Moquin de Raccoon
Passionné de glisse, Jonathan Bourgeois a eu l’idée de récupérer la vieille presse à portes d’armoires de cuisine de l’entreprise familiale pour fabriquer des skis. Il a convaincu son ami Sébastien, sans trop de difficulté, de participer à l’aventure des skis Raccoon. Dans leur jeunesse, les deux fondateurs dévalaient les pentes en portant leurs lunettes de ski — avec leur visage bronzé par le soleil, sauf dans la région des yeux, ils avaient un air de raton laveur.
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